17 oct. 2008

Alte aux feu ! Défandon Didier Gout

Dés fois j’en est assé des blogueur litéraire et de leur prétension… Aujourdhui, Didier Gout viens d’écrire un article très poètique sur les coquecinelles, et en retour il ne recolte que des sarcasme sur son emploie du gérontif.

Obvervez cet phrase :

« Bref, nous nous servons un verre (les adultes assommés), et entrouvrant la porte-fenêtre du salon, afin de pouvoir fumer en toute bonne conscience - ce que nous faisons illico »

Quelle est leur probléme ? Ils protestes tous car ils ne save pas ce que s'est que la liberter, tout ses gens en bonne santer qui se croit malin parce qu'il ne boive pas et qu'il ne fume pas. Encore une foi, la censure a encore frapper. C’est évidant qu’il est devenu pour eu, ses blogueur litéraire, un veritable modèle au stacle, comme dirait Renaud Girare.

9 oct. 2008

Trois choses qui m'enerve

J’ai été tagé ! Merci à « Lili-puce-Sienne » pour m’avoir refiler cette chaine ! Ou pas ! ;)

Je dois vous expliqué trois choses qui m’enerve particullierement. Moi, bien discipliner, je m’excecute ! ;) Voici donc trois truc qui me metetn particuliérement or de moi.

L’injustice : Depuis au temps que je m’en souviennes, je n’ai jamais supporter l’injustice. Quel soit sociale ou historique, qu’elle soit dans les pays étrangé ou sur mon voisin de palier. Voire l’injustice me révolte, cela me donne envi de me grater. Je boue interieurment, comme une colaire qui gronde au fond de moi. Si quelquun come Patric Dilse est accuer a tort, par example, cela me mets dans une rage folle, et je pourrait vraiment tout cassé.

La guerre : Franchemant, pourquoi faire, la guerre ? Les gens n’on-il pas encore comprit qu’il fallait mieux vivre en paix ? La guerre n’a aucun interé. C’est un quand contre un autre quand, on tue des inconu qui ne nous ont rien fais, alors qu’en réaliter, ça pourais être nos amis. Les puisant de ce monde, qui ne vont jamais au combas reste bien tranquillemant dans leur bureau a conter tout leur argent, tandis que nos pere et nos mere sont en premiére ligne sur le frond. Si tout les hommes du monde voulait bien se donné la main, il comprendrait, mais pour cela il faudrais qu’il oublient leur rivaliter.

Les gens qui pue : un truc qui m’insuporte au plus au poing, ce sont les gens qui puent. Un corp, on a n’à qu’un, on l’entretiens, on le respecte, comme on respecte les autre ! Ne croyer pas que je soit superificel. Je sais que comme l’argent, l’humaniter n’a pas d’odeure. Mais s’est plus simbolique, c’est le manque de respect qui me donne envie de me grater, plus que le manque d’higienne. C’est pareil pour ceux qui ne dise pas « bonjour, merci », ceux qui trufe leur texte de faute d’orthographes ou écrives en language SMS. C’est un état d’espris.

Sachan tous cela, je vous laisse imaginé ce qui se passerait si il y avais une injustice pendant la guerre, ou des gens qui pue sur le frond accuser a tord d’une desertion qu’il n’on pas commis.

Voilà, c’est fait : Je tage a mon tours trois blougueur litéraire de valeure, que je considère comme mes haltere égaux : Les « Mots hors les murs », « L’encre de Mamimouna » et Dorham.

6 oct. 2008

Le petit prinse

Il été une fois, dans un pays très lointin, si lointin qu'on ne le voyais pas de loin, un petit enfant qui regardais le ciel, en revant.

Un petit renard vingt prêt de lui et s'approcha. Il le regardit avec un air si triste, triste comme un sourrire, rieur comme la mélancolit.

Il lui dis : comment t-apelle-tu, jeune enfant du desert en train de regardé le ciel en revant ?

- Je suis le petit prinse, repondis le jeune enfant.
- Tu est seul ? On dirais que tu est seul au monde.
- Non, seul je ne suis pas, j'ais dans mon chœur, le visages de ce que j'aime, il sont la, papa, maman, ce que j'aime, ils me regarde, et moi je les regarder aussi, en disants : ou que jaille, vous serais toujours la dans mon chœur, car vous m'acompagner en tous lieu comme des ange gardien. »

Puis le petit prinse caressa le doux animal au poil si doux.

Puis il réfléchissa un instant, les yeux tournée verre les sieux.

« Genti animal, veut-tu etre mon ami ?
- Oui, je le veut bien, réponda-t-il.
- Je ne sait pas si je désire que tu soyes mon ami. L'amitié, c'est comme une cage ou le prisonnier vient s'enfermé lui-même, il faux parfois le libéré car souvant il ne sais chape pas de lui memes.»

Alors, l'animal si doux reparti seul dans le desert, et le petit prinse, triste mais heureu, joyeu mais melancolique, regardit encore et toujours le ciel en revant, avec dans son chœur au chaud l'images de la melancolit.